Prétextant compenser la suppression de 2600 postes d’enseignants du second degré, Jean-Michel Blanquer dit annoncer « une bonne nouvelle » en imposant une deuxième heure supplémentaire et augmenter ainsi le pouvoir d’achat de nos collègues.
Au SE-Unsa, nous ne sommes pas dupes : ce n’est pas une bonne nouvelle !
L’augmentation du temps de travail est une mauvaise solution, tant pour la qualité de l’accompagnement des élèves que pour la santé des collègues.
D’autant qu’un nombre d’élèves croissant est attendu au collège (+38000) et au lycée (+8000).
Est-ce le moment de fragiliser les équipes ?
Pour le SE-Unsa, c’est :
Non à l’obligation de faire deux heures supplémentaires !
Non aux suppressions de postes !
Nous vous invitons à signer et faire signer massivement notre pétition « Deuxième heure sup imposée : pour nous, c’est non ! »
Je signe la pétition en cliquant ici
Au SE-Unsa, nous ne sommes pas dupes : ce n’est pas une bonne nouvelle !
L’augmentation du temps de travail est une mauvaise solution, tant pour la qualité de l’accompagnement des élèves que pour la santé des collègues.
D’autant qu’un nombre d’élèves croissant est attendu au collège (+38000) et au lycée (+8000).
Est-ce le moment de fragiliser les équipes ?
Pour le SE-Unsa, c’est :
Non à l’obligation de faire deux heures supplémentaires !
Non aux suppressions de postes !
Nous vous invitons à signer et faire signer massivement notre pétition « Deuxième heure sup imposée : pour nous, c’est non ! »
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