Une réunion d’information se tenait ce jour avec l’AEFE pour faire à nouveau un point sur l’évolution de la situation liée à l’épidémie de Covid-19 (nous en sommes aujourd’hui à 468 fermetures d’établissements dans le réseau).
Pour les établissements fermés ou sur le point de l’être, nous rappelons que les enseignants ne sont pas tenus de se rendre quotidiennement dans leur établissement, leur présence n’est pas obligatoire. Il peut être demandé à certains collègues de venir, quand toutes les conditions de sécurité sont réunies, pour aider à la mise en place de la continuité pédagogique. Une fois organisée, il n’y a plus de raison d’être présent dans l’établissement.
En ce qui concerne les calendriers scolaires: suite à nos diverses interventions sur le sujet, l’AEFE a rappelé aux établissements le cadre à respecter pour ce genre de procédure. Ainsi, il a bien été précisé qu’il n’y aurait pas de changement de calendrier scolaire pour des raisons pédagogiques, à partir du moment où la continuité pédagogique est assurée. Seule une raison impérative de sécurité peut être invoquée par le poste diplomatique, en liaison avec le chef d’établissement, pour justifier un tel changement.
Au niveau de la situation administrative des personnels, la grande majorité d’entre vous a du recevoir une autorisation exceptionnelle d’absence pour régulariser cette situation inédite (si ce n’est pas le cas, ne pas hésiter à nous contacter). Par rapport à ces autorisations se pose le cas de figure des collègues qui sont aujourd’hui en France et qui devront rentrer dans leur pays d’exercice au moment de la réouverture de leur établissement. Dans cette situation, les collègues se trouvant dans l’impossibilité de rejoindre leur pays d’affectation seront couverts par un ordre de mission (avec intégralité du salaire). Pour cela, les collègues concernés doivent se faire connaître et régulariser leur situation auprès de la DRH à l’adresse suivante (gestion.aefe@diplomatie.gouv.fr).
Nous avons également abordé les difficultés rencontrées par certains personnels, pas seulement sur le plan sanitaire mais aussi sur le plan sécuritaire. A l’heure actuelle, l’AEFE conserve ses principes généraux en matière de retour en France. Des personnels (en particuliers les personnels vulnérables) peuvent, à titre individuel, demander une dérogation à cette règle (pour cela, il faut se rapprocher du proviseur). Ensuite, une étude au cas par cas sera effectué. Sinon, de façon générale, ce sont les ambassades qui prennent les décisions de maintien ou non de l’ensemble des ressortissants français dans le pays. A ce propos, une attention particulière est portée par les postes diplomatiques se trouvant dans les zones plus sensibles, et des décisions de rapatriement pourraient être prises si ces mêmes postes diplomatiques le jugent nécessaire.
En matière d’aide aux personnels, l’Agence étudie la possibilité d’élargir les dispositifs existants en matière de soutien psychologique (comme ceux proposés à Pékin ou dans certaines zones d’Afrique). A ce propos, nous souhaitons rappeler ici aux collègues qu’il n’est pas nécessaire de se mettre de pression supplémentaire. Personne ne doute (et le message de l’AEFE allait très clairement dans ce sens) de l’investissement et de l’engagement sans faille de chacun d’entre vous pour assurer au mieux vos fonctions. Alors, préservez-vous et usez de votre droit à la déconnexion.
Enfin, nous continuerons à vous tenir informés dès que nous aurons de nouveaux éléments en notre possession. Bon courage à toutes et tous.
Pour les établissements fermés ou sur le point de l’être, nous rappelons que les enseignants ne sont pas tenus de se rendre quotidiennement dans leur établissement, leur présence n’est pas obligatoire. Il peut être demandé à certains collègues de venir, quand toutes les conditions de sécurité sont réunies, pour aider à la mise en place de la continuité pédagogique. Une fois organisée, il n’y a plus de raison d’être présent dans l’établissement.
En ce qui concerne les calendriers scolaires: suite à nos diverses interventions sur le sujet, l’AEFE a rappelé aux établissements le cadre à respecter pour ce genre de procédure. Ainsi, il a bien été précisé qu’il n’y aurait pas de changement de calendrier scolaire pour des raisons pédagogiques, à partir du moment où la continuité pédagogique est assurée. Seule une raison impérative de sécurité peut être invoquée par le poste diplomatique, en liaison avec le chef d’établissement, pour justifier un tel changement.
Au niveau de la situation administrative des personnels, la grande majorité d’entre vous a du recevoir une autorisation exceptionnelle d’absence pour régulariser cette situation inédite (si ce n’est pas le cas, ne pas hésiter à nous contacter). Par rapport à ces autorisations se pose le cas de figure des collègues qui sont aujourd’hui en France et qui devront rentrer dans leur pays d’exercice au moment de la réouverture de leur établissement. Dans cette situation, les collègues se trouvant dans l’impossibilité de rejoindre leur pays d’affectation seront couverts par un ordre de mission (avec intégralité du salaire). Pour cela, les collègues concernés doivent se faire connaître et régulariser leur situation auprès de la DRH à l’adresse suivante (gestion.aefe@diplomatie.gouv.fr).
Nous avons également abordé les difficultés rencontrées par certains personnels, pas seulement sur le plan sanitaire mais aussi sur le plan sécuritaire. A l’heure actuelle, l’AEFE conserve ses principes généraux en matière de retour en France. Des personnels (en particuliers les personnels vulnérables) peuvent, à titre individuel, demander une dérogation à cette règle (pour cela, il faut se rapprocher du proviseur). Ensuite, une étude au cas par cas sera effectué. Sinon, de façon générale, ce sont les ambassades qui prennent les décisions de maintien ou non de l’ensemble des ressortissants français dans le pays. A ce propos, une attention particulière est portée par les postes diplomatiques se trouvant dans les zones plus sensibles, et des décisions de rapatriement pourraient être prises si ces mêmes postes diplomatiques le jugent nécessaire.
En matière d’aide aux personnels, l’Agence étudie la possibilité d’élargir les dispositifs existants en matière de soutien psychologique (comme ceux proposés à Pékin ou dans certaines zones d’Afrique). A ce propos, nous souhaitons rappeler ici aux collègues qu’il n’est pas nécessaire de se mettre de pression supplémentaire. Personne ne doute (et le message de l’AEFE allait très clairement dans ce sens) de l’investissement et de l’engagement sans faille de chacun d’entre vous pour assurer au mieux vos fonctions. Alors, préservez-vous et usez de votre droit à la déconnexion.
Enfin, nous continuerons à vous tenir informés dès que nous aurons de nouveaux éléments en notre possession. Bon courage à toutes et tous.